Les croyances qui nous limitent ! les repérer et s’en libérer

De quoi s’agit-il ?

Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire : 

« Je suis incapable de… ; Ce n’est pas pour moi… ; Je n’y arriverai jamais… ; J’ai toujours fait comme ça …  ; Avec moi, c’est toujours la même chose…  ;  Je me sens nul… ; C’est impossible  de… ; Personne ne m’aime… ; Je suis moche… ; Je ne me sens jamais à ma place…  ; Je n’ai jamais de chance… ; je suis trop vieux/trop jeune pour …  »

Ces petites phrases deviennent petit à petit des croyances !

Le mot « croyance » ici n’a aucune connotation religieuse. Il s’agit plutôt d’une certitude souvent irrationnelle qui s’est tellement enracinée dans la vie d’une personne qu’elle est devenue une croyance inébranlable. C’est une pensée ou une représentation mentale qu’on considère comme étant la vérité.

Nos croyances sont autant des vecteurs de réussite (croyances aidantes) que de blocage (croyances limitantes).

C’est comme si notre cerveau fonctionnait en On/Off ou Start/Stop !

Les croyances dites « aidantes » sont des autorisations, des permissions que l’on se donne. Elles se nourrissent de nos réussites, nos expériences, nos atouts, nos ressources, notre richesse intérieure. Elles sont une aide précieuse pour avancer, nous propulser dans la vie. 

Les croyances dites « limitantes » sont à l’inverse des freins, des blocages, des interdictions que l’on s’impose. Elles plombent notre avancement, nous tirent vers le bas, ou nous emmènent quelques fois à l’opposé de nos désirs, de nos envies.

Pourquoi se libérer des croyances limitantes ?

Nous avons tous notre propre « système de croyances », comme nous avons notre propre système de valeurs. Notre système de croyances, ce que l’on croit ou pas, est déterminant dans ce que nous voulons être, nous voulons avoir ou nous voulons faire.  

C’est dire l’importance d’être au clair avec nos croyances, comme nous devons l’être avec nos valeurs. 

Certaines croyances sont relativement anodines et ne présentent pas vraiment d’enjeux. D’autres, plus profondes, constituent potentiellement des freins dans notre vie. Ce qui est gênant est que ces croyances sont des limites implicites dont on n’a pas toujours conscience.

Les croyances limitantes agissent en effet, la plupart du temps, de façon inconsciente, comme un blocage mental vers l’atteinte d’un objectif, et même parfois vers la réalisation de soi. Elles conditionnent nos pensées, nos états internes, nos comportements, nos actions, nos expériences qui viennent encore renforcer nos croyances, comme dans un cercle vicieux.

Les croyances limitantes nous enferment !

C’est pourquoi il est important d’en prendre conscience, de libérer et transformer celles qui peuvent potentiellement nous entraver dans notre vie.

D’où viennent nos croyances ?

Comment nos croyances prennent racine !

Il n’y a pas de réponse unique. Les croyances peuvent être multi-causes et peuvent prendre racine à n’importe quel moment de la vie. Celles qui ont un sens à un moment de la vie peuvent devenir obsolètes.

Presque tous les enfants ont cru un jour au père Noël puis ont compris que ce n’était pas la vérité… 

Les croyances touchent n’importe quel aspect de la vie d’une personne : son apparence physique, ses aptitudes intellectuelles, émotionnelles, relationnelles, ses comportements. Elles peuvent même parfois être d’ordre identitaire, voire existentiel.

Les croyances limitantes sont très souvent transmises par héritage familial ou socio-culturel et sont reçues comme des vérités« L’argent, c’est sale »  ou  « on ne peut pas réussir dans la vie si on n’a pas fait des études… »

Le processus est toujours un peu le même : un fait  déclencheur et souvent une répétition d’événements, sans rapport nécessairement les uns avec les autres, mais qu’une personne va vivre de façon à renforcer sa croyance.

Une croyance limitante peut avoir pour origine une parole malheureuse, une situation vécue comme un échec, une étiquette collée à la peau ou un rôle peu valorisant dans lequel une personne se sent enfermée.

Cela peut être encore un contexte où une personne éprouve de la difficulté à trouver sa place, à se positionner, voire à exister. C’est par exemple le cas d’une personne persuadée qu’elle n’est pas importante aux yeux des autres, ou qu’elle n’existe qu’à travers le regard des autres, ou qui ne se sent jamais à sa place, ou bien encore qui ne mérite pas le bonheur.

Ce n’est pas tant la nature des situations qui importe que la façon dont une personne perçoit et ressent l’expérience vécue. Chacun dispose en effet de sa propre représentation de la réalité. Autrement-dit, chacun a sa « carte du monde » qui lui est propre et subjective.  

Cela signifie que nous sommes tous uniques et que, selon nos filtres1, nous construisons notre propre réalité subjective, y compris nos croyances.

(1) : selon les modèles de la PNL, nos filtres sont personnels, neurologiques et socio-culturels.

Quoi qu’il en soit, la croyance limitante sera d’autant plus difficile à défaire que si celle-ci a pris forme il y a fort longtemps, que d’autres événements sont venus renforcer la croyance, et qu’enfin la personne n’en a pas conscience pour la remettre en cause.

Prenons l’exemple d’un enfant à qui un adulte aurait dit un jour « tu es nul, tu ne feras jamais rien dans ta vie ! ». Imaginons que cet enfant n’ait pas été rassuré sur son estime de lui et sur ses capacités par d’autres adultes. Plus tard, il revit des situations où il se sent nul, comme autant de preuves à charge de sa croyance. Alors, il se pourrait qu’à l’âge adulte il soit convaincu, même de façon tout à fait inconsciente, qu’il ne fera effectivement jamais rien dans sa vie. 

Les mots peuvent être tout autant libérateurs que destructeurs. 

« Que ta parole soit impeccable » (Miguel Ruiz)

Les biais possibles aux croyances limitantes ?

Il existe quelques « biais cognitifs » inconscients aux croyances limitantes :

Se réfugier derrière sa croyance pour ne rien changer. La croyance est tellement ancrée qu’une personne se persuade que c’est ainsi, qu’elle ne peut plus rien faire pour changer sa réalité. Il est intéressant dans ce cas de se demander s’il n’y a pas un bénéfice pour elle à se maintenir dans sa croyance. 

Je me cache derrière ma croyance !

Exemple : après un ou plusieurs déboires sentimentaux, une personne convaincue qu’elle n’a pas de chance en amour, refuse toute nouvelle relation. Le bénéfice pourrait être de chercher à se protéger pour ne plus souffrir, donc à ne plus prendre aucun risque.

Chercher ou se mettre dans des situations qui agissent comme autant de preuves qui valident sa croyance. C’est une façon de se raccrocher plus à sa croyance qu’à sa propre valeur. Cela peut vite tourner à l’auto-sabotage.

Je cherche les preuves !

Exemple : après un ou plusieurs échecs, une personne convaincue qu’elle n’est pas capable de réussir se remet en situation d’échec en ne se présentant pas à des examens.`

Se raconter une « histoire » pour se convaincre d’une réalité, celle de sa croyance.  Cela peut aller à transformer quelque peu les événements en se créant parfois de « faux souvenirs » ou en sélectionnant les souvenirs qui renforcent sa croyance. 

C’est l’histoire que je me raconte …

Exemple : une personne convaincue qu’elle est incapable d’évoluer dans son milieu professionnel se focalise alors davantage sur les échecs ou les critiques ; peut-être même qu’elle les amplifie ou s’arrange un peu avec la réalité, en occultant les réussites, les  encouragements ou les compliments qu’on a pu lui faire.

Rendre le monde extérieur responsable de ses croyances et en conséquence de ses propres limites. C’est en quelque sorte « la faute à pas de chance » ou « c’est à cause de … si je n’y arrive pas ». C’est la croyance qu’une personne n’a aucun pouvoir sur sa vie. Elle n’y est jamais pour rien puisqu’elle croit dépendre des autres ou des éléments extérieurs.

C’est pas de ma faute, c’est ma croyance !

Exemple : une personne convaincue que c’est la faute des transports si elle est toujours en retard, la faute de papa et maman si ses relations ne sont pas bonnes, la faute de son patron si elle n’a pas d’augmentation, la faute du temps (trop chaud, trop froid) si elle ne peut pas promener son chien…

Comment se libérer des croyances limitantes ?

1/ Repérer et prendre conscience des croyances limitantes

Repérer ce qui écrase !

Ce n’est pas toujours simple de repérer les croyances limitantes surtout quand elles sont bien ancrées. 

Il existe néanmoins une astuce qui se réfère à certains mécanismes de langage que nous utilisons tous et qui nous coupent d’une bonne partie de la réalité. Ces mécanismes sont révélateurs de ce que nous pensons, au moins en surface, et bien souvent de ce que nous croyons. Il est alors assez facile de repérer les croyances. Après quoi, le questionnement ou l’auto-questionnement permet d’en prendre conscience et de commencer à désamorcer ou transformer les croyances limitantes.

En bref, ces mécanismes linguistiques, très bien expliqués par la PNL, sont :

Une expérience vécue est généralisée à d’autres situations (généralisation)

Exemples : « Personne ne me fait confiance » (personne ? vraiment ?) ; « je n’ai jamais eu de chance » (vraiment jamais ?) ; « tout le monde s’en fout » (c’est qui tout le monde ?) ;  « je fais toujours tout » (toujours tout ? c’est à dire ?) ; « l’argent pourrit les relations » (qui dit ça ? c’est à dire ? comment ?)…

Une partie de la réalité est occultée (omission ou sélection) 

Exemples : « on me déteste » (qui vous déteste ? pour quelle raison ?) ; « j’ai peur » (de quoi, de qui avez-vous peur ?) ; « je me sens incapable » (de quoi vous sentez-vous incapable ? dans quel contexte ?)…

La réalité est déformée (distorsion) 

Exemples : « j’ai raté mon épreuve, je suis nul » (peut-on rater un examen sans se sentir nul ?) ; « je devine…je sais…j’imagine ce qu’il pense »  ou « il fait ça parce qu’il pense que… » (comment savez-vous cela ? sur quoi repose votre jugement ?)…

Toutes ces petites phrases où on généralise, on occulte ou on transforme les informations d’une situation, réduisent de fait la réalité. Elles traduisent nos lectures de pensées et quelques fois nos croyances. C’est intéressant alors de s’écouter ou d’écouter les autres pour repérer les croyances limitantes ; puis de se questionner pour rétablir une réalité plus juste. 

2/ Transformer la croyance pour qu’elle devienne positive

Comment transformer ses croyances ?

Une fois repérées, il existe des techniques pour transformer les croyances limitantes, empreintes au coaching, à la PNL et autres méthodes thérapeutiques.

Un questionnement approprié permet assez souvent de désamorcer, voire d’éliminer la croyance, en la reformulant, en prenant le contre-pied, en chercher des contre-exemples, en précisant la pensée (qui, quand, comment, quoi, dans quel contexte, de quelle manière…?).

On peut aussi se poser les questions suivantes : 

  • Est-ce que je suis certain(e) à 100% du fondement de cette croyance ?
  • N’y a-t-il pas une fois au moins où ma croyance n’est pas vraie ?
  • Quelle est l’histoire que je me raconte avec cette croyance ?
  • Quel est le coût « bénéfices et pertes » à me maintenir dans cette croyance ?
  • Qu’est-ce que je décide à la place, en conscience ? La garder ou m’en libérer ?
  • Si je faisais « comme si…», par quelle autre croyance plus aidante je la remplacerais ?
  • Avec cette nouvelle croyance, que vais-je faire à partir de maintenant ?

Il est important de reformuler la nouvelle croyance de façon POSITIVE et AFFIRMATIVE, comme un mantra qu’on se répète, pour qu’elle s’ancre mentalement. C’est une façon de reprogrammer son cerveau. 

Il ne reste plus qu’à se mettre en action pour imprimer davantage la nouvelle croyance. Le temps et la répétition est un des leviers du changement d’un point de vue neurologique.

3/ Faire émerger ses propres ressources 

Puiser dans ses ressources !

Prendre conscience de ses propres ressources (capacités, qualités, atouts, talents, apprentissages,…) est un formidable contre-pied aux croyances limitantes.

Là-encore, il existe plusieurs techniques pour faire émerger ses propres ressources.

L’une d’elles, dite « stratégie de réussite », consiste à se remémorer un événement particulier de sa vie, une réussite, une réalisation, une fierté. Cela peut-être un voyage, un projet mené à bien, un objectif atteint, un rêve réalisé, un examen, un concours, une performance, un dépassement de soi…

L’idée ensuite, est d’explorer toutes les ressources et stratégies dont a eu besoin pour cet événement, y compris pour dépasser d’éventuels obstacles. C’est redoutable pour faire tomber les croyances limitantes et surtout prendre conscience de toutes ses possibilités.

Si besoin, faites-vous accompagner par un professionnel.

Lâcher-prise ! oui mais comment ?

Citation de Marc-Aurèle : « Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre ».

Pourquoi « Lâcher-prise » ?

Combien de fois avez-vous entendu « lâche-prise » ! Cette « injonction » est en fait une invitation à ne plus penser sans cesse à ce qui nous préoccupe, à stopper les ruminations du mental et à se libérer d’émotions trop pesantes.

Alors, pourquoi est-ce si difficile de lâcher-prise ?

Lâcher-prise fait peur en général parce que l’on imagine que si on lâche quelque chose, on perd le contrôle ! Pire encore que c’est une façon de se résigner, de renoncer ou de signifier qu’on est d’accord avec la situation qui nous préoccupe. 

Ce n’est rien de tout cela. En fait, lâcher-prise est juste d’arrêter de vouloir tout contrôler ou de résister à ce qui ne dépend pas de nous.

« Lâcher-prise n’est pas renoncer, ni être d’accord. C’est arrêter de résister à ce qui ne dépend pas de nous »

Comment faire pour lâcher-prise ?

1/ Faire preuve de discernement et agir sur ce qui dépend de nous

Bien cibler ce qui dépend ou pas de moi

Quelle que soit la situation qui nous préoccupe, il est important de discerner précisément ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Autrement-dit, ce qui est dans notre pouvoir de responsabilité ou d’actions et ce qui ne l’est pas. 

Il ne s’agit donc pas de nier le problème. Bien au contraire, il est important d’y faire face et de faire tout ce qu’il est possible pour le résoudre, en demandant de l’aide parfois

Lâcher-prise est d’autant plus difficile que si l’on sent que l’on n’a pas fait tout ce qu’il était possible de faire dans notre champs de responsabilité ou d’actions. Notre champs des possibles est souvent bien plus grand que ce que l’on imagine. Les freins et les blocages viennent de nos propres peurs et des limites auxquelles on se contraint tout(e) seul(e). Cela nécessite parfois courage et persévérance, sans pour autant que cela tourne à l’obsession, voire à l’obstination.  C’est un prérequis au lâcher-prise.

Ce prérequis étant dit, lâcher ensuite ce qui ne dépend absolument pas de nous revient alors à accepter une réalité, même si celle-ci n’est pas toujours agréable. Cela ne veut pas dire que l’on est d’accord avec cette réalité mais cela permet de se libérer au moins en partie de la charge émotionnelle d’une situation qui ne dépend pas ou plus de nous, en tout cas pour le moment.

2/  Prendre du recul

Prendre du recul

Chacun a dans sa vie des expériences déjà vécues qui sur l’instant paraissaient difficiles, voire insurmontables mais qui, après coup, peuvent paraître pour certaines dérisoires, pour d’autres enrichissantes à bien des égards. 

Alors, demandez-vous si cette situation qui vous préoccupe aujourd’hui aura encore de l’importance dans 6 mois, 2 ans, 5 ans. La grande majorité des situations ou difficultés qui empoisonnent le quotidien et sur lesquelles on a tant de mal à lâcher-prise n’auront effectivement plus aucune espèce d’importance à court ou moyen terme.

Une autre façon de prendre du recul est de regarder sa vie dans son ensemble et pas seulement par le prisme du problème actuel : ce que vous avez déjà construit, ce qui est important pour vous, les gens que vous aimez et qui vous entourent, vos passions, ce que vous avez envie de réaliser… C’est une façon de changer de focus pour ne pas s’appesantir sur ce qui vous mine en ce moment.

Autre astuce encore, tirée de certaines techniques de thérapie, est d’imaginer dialoguer avec un médiateur, plein de sagesse et de ressources et en qui vous avez toute confiance. Il peut être un avatar, une personne que vous connaissez déjà, un modèle, ou bien vous-même dans une version apaisée, juste et confiante. Que vous direz alors cette personne de la situation qui vous traversez ? Cette façon de prendre du recul sur vous-même et sur la situation offre souvent de belles surprises, un regard nouveau, un changement de perception, peut-être de nouvelles solutions à la clé, plus de justesse et d’apaisement.

Éventuellement, vous pouvez un court instant envisager le pire des scénarios possibles, c’est à dire  « le pire du pire », sans se faire trop mal non plus ! Vous verrez qu’il y aura toujours des réponses possibles et, dans tous les cas, des enseignements à tirer pour grandir de cette expérience !

3/ Revenir au moment présent et muscler son jeu

Muscler son jeu

Utilisez tous vos « trucs et astuces » qui vous permettent de vous sentir mieux dans l’instant présent. Chacun a suffisamment d’expériences et de ressources pour savoir exactement ce qui procure du bien-être.

En revenant dans l’instant présent, vous verrez dans la grande majorité des cas que vous êtes en sécurité, qu’il n’y a ni menace, ni danger. N’hésitez pas à testez de nouvelles méthodes, en sortant parfois des sentiers battus, par exemple en vous concentrant sur vos sensations corporelles ou sur votre respiration. L’effet est quasi immédiat !

Les peurs, le stress, les ruminations sont nourris très souvent en se projetant dans un futur qui n’existe pas encore, autrement-dit dans une projection erronée et parfois pessimiste de la réalité. Là-encore, il existe des techniques comme la visualisation créatrice qui donne accès à des voies plus positives et procure une bien meilleure énergie.

Au besoin, faites-vous aider pour (re)trouver des sensations d’apaisement du mental et des émotions.

Comme pour tout apprentissage, testez et répétez le « lâcher-prise » sur toutes les préoccupations qui peuvent se présenter, en commençant par des petites choses. Cela permet en quelque sorte de muscler son jeu et devenir plus résilient aux situations de la vie.

COACHING & HYPNOSE LE JOUR D’APRES

Réouverture du cabinet à partir du 11 mai, en toute sécurité, avec respect des consignes de distanciation et d’hygiène.

Les RDV à distance restent en place pour toutes celles et ceux qui le souhaitent bien évidemment…

Alors, à très bientôt 😁

Qu’est-ce que la PNL ?

Bref historique 

La PNL (ou Programmation Neuro Linguistique) est utilisée depuis les années 70 par des millions de personnes à travers le monde dans des domaines d’application très divers allant de la thérapie brève au management, la vente, le marketing, l’armée et la police, le sport et le développement personnel.

La PNL, créée aux États Unis par John Grinder et Richard Bandler, est basée sur diverses approches et courants de pensée  (comme la systémique, la cybernétique, le fonctionnement cérébral,…) et sur l’observation des pratiques de certains grands communicants et thérapeutes (comme M. Erickson, F. Perls, V. Satir).

Elle continue à être développée depuis plus de 25 ans par Robert Dilts et Judith Delozier.

La genèse et les fondements de la PNL sont très bien expliqués dans cette vidéo de Alain Thiry.

Fondements de la PNL, sur quoi s’est construite la PNL ?

C’est quoi la PNL ?

La PNL est un outil thérapeutique et de coaching qui met à disposition un ensemble de techniques et des modèles pouvant faciliter :

  • Le langage dans toutes les sphères relationnelles,
  • L’excellence humaine (savoir-être et savoir-faire) dans la communication, l’apprentissage et le changement. 

« Ce qu’un homme peut faire, un autre le peut aussi ».

Bien accompagné par un praticien en PNL, et seulement en quelques séances, ces  techniques constituent un véritable levier de transformation vers un objectif donné.

Pour ce faire, la PNL s’appuie sur une « modélisation de la structure de l’expérience humaine ». 

L’expérience humaine d’un individu, en particulier « sa carte du monde », lui est propre et subjective. Elle est en effet fonction de ses propres perceptions de la réalité et limitée dans sa représentation subjective du monde, c’est à dire de l’extérieur. C’est pourquoi la PNL porte davantage sur la structure d’une expérience, sur laquelle nous pouvons agir, que sur son contenu qui reste subjectif. 

« La Carte n’est pas le Territoire » (A. Korzybski, Science and Sanity, 1933)

La modélisation repose et agit sur trois composantes fondamentales de l’expérience humaine :

  • Nos habitudes comportementales (Programmation) : à partir de nos expériences, nous créons des processus de fonctionnement, des compétences inconscientes, des ressentis qui se manifestent par des habitudes comportementales.
  • Nos modes de pensée (Neurologie) : nos processus de pensée reposent sur notre capacité neurologique à percevoir, stocker et organiser l’information pour donner un sens à l’expérience. Le système neurologique régule le fonctionnement du corps.
  • Notre langage (Linguistique) : le langage permet de coder et de retranscrire notre expérience par des mots, une manière de parler, ainsi que par le langage corporel. Le langage détermine notre façon d’interagir et de communiquer avec les autres.

« Le corps et l’esprit sont des Processus Systémiques » (G. Bateson, A Necessary Unity, 1979)

Quelques postulats de la PNL

Chaque personne possède sa propre carte du monde. Aucune carte individuelle n’est plus « vraie » ou plus « réelle » qu’une autre.

Les personnes réagissent en fonction de leurs propres perceptions de la réalité. Les limites de l’individu sont dans sa représentation subjective du monde et non dans le monde réel.

Les individus ont déjà (ou potentiellement) toutes les ressources dont ils ont besoin pour agir efficacement.

Les individus font les meilleurs choix possibles parmi ceux qu’ils perçoivent comme disponibles dans leur modèle du monde. 

Tout comportement a (ou a eu) une « intention positive ». La personne fait le meilleur choix comportemental compte tenu du contexte dans lequel il s’est produit.

Le sens de la communication réside dans la réponse obtenue chez l’autre, quelle que soit l’intention de l’émetteur du message.

« On ne peut pas ne pas communiquer ». Tout comportement est une communication, même le silence a une signification. Tout étant interprétable, tout est communication. 

Pour en savoir plus

Vous pouvez vous reporter à un article complet de Jean-Luc Monsempès dans le portail international PNL-NLP Professional.

Vous pouvez vous documenter dans le portail de la Fédération NLPNL

Vous trouverez également un article intéressant de l’Express sur la PNL en cliquant sur ce lien.

Voici des extraits de l’article : 

« Reprogrammer notre cerveau pour venir à bout de nos blocages et de nos angoisses, c’est la promesse de la PNL, programmation neuro-linguistique, une thérapie brève de plus en plus prônée par certains psychothérapeutes »….

« ….Les personnes qui réussissent ont des schémas comportementaux communs. En observant et en reproduisant ces comportements, aucune raison de ne pas nous-même atteindre nos propres objectifs. …»

« …On a tous un mode de pensée. Si on apprend à penser différemment, on peut se mettre à agir différemment….. »

« …L’originalité et l’intérêt de cette méthode résident dans l’étendue de son champ thérapeutique,….cela va des troubles psychologiques et émotionnels aux conflits intérieurs – stress, dépression, burn-out, traumatismes – en passant par les troubles névrotiques – angoisses, crises de panique, syndromes de stress post-traumatique – et enfin les troubles comportementaux mais aussi des compulsions, des phobies ou des TOC…. »

« …En matière de développement personnel, la PNL est d’une efficacité redoutable pour développer ses potentiels et ses ressources, préparer un rendez-vous important ou un examen, développer sa capacité de concentration et ses performances intellectuelles ou physiques, sa créativité, la confiance en soi, le leadership, etc…. »

Covid-19 – Coaching & Hypnose Solidaire

Actualités mars 2020 : la situation inédite de confinement que nous vivons peut susciter pour certaines personnes :

  • des situations ou émotions inconfortables,
  • des interrogations pour l’avenir,
  • l’opportunité de changer quelque chose dans sa vie,
  • de se fixer et d’atteindre un objectif,
  • de réaliser un projet….

Quelle que soit la situation personnelle ou professionnelle rencontrée, ACDP-Coaching peut vous accompagner et vous proposer des séances à distance.

Par solidarité, les séances sont gratuites pour toute personne ayant besoin d’un soutien pour gérer un état émotionnel inconfortable (stress, peur, tristesse…).

Comment ça marche ?

C’est très simple, cliquer sur « Coaching & Hypnose à distance ».

#RestezChezVous #PrenezSoinDeVous

On est la moyenne des cinq personnes avec qui on passe le plus de temps.

Citation de Jim Rhon : « Vous êtes la moyenne des cinq personnes avec qui vous passez le plus de temps »

Préambule : si vous avez une confiance absolue en vous, en toutes circonstances, que vous n’avez jamais été ou que vous n’êtes jamais impacté, ne serait-ce qu’émotionnellement, ni même influencé par quiconque ou quoi que ce soit, ce qui suit n’est pas pour vous. 

D’après Jim Rhon (entrepreneur, conférencier, écrivain, coach …et mentor de Tony Robbins), on serait donc la moyenne des cinq personnes avec qui on passe le plus de temps. Pourquoi cinq ? L’auteur ne le dit pas mais peu importe. Au fond, qu’il s’agisse des trois, cinq ou des 10 personnes que l’on côtoie le plus, cette citation n’est pas dénuée de fondement.

Cette formulation n’est pas tant une question « identitaire » qui est un autre débat qu’une question d’impacts, d’influences ou d’effets que nous avons les uns sur les autres et qui peuvent agir même inconsciemment sur notre vie. 

En y regardant de plus près, il n’est pas absurde en effet de penser que nos comportements, nos pensées, nos émotions, nos actions, nos réactions, nos décisions, nos choix, notre bien-être… sont impactés, voire influencés, d’une façon ou d’une autre, et ce depuis l’enfance, par les personnes avec qui l’on passe le plus de temps – ou avec qui l’on a passé le plus de temps. 

A chaque étape de la vie, c’est une poignée de personnes « comme les cinq doigts de la main » que l’on côtoie au quotidien et avec qui l’on interagit le plus. D’abord, nos parents qui nous ont beaucoup appris et orientés, la fratrie ou les camarades avec qui l’on jouait, se confiait, se disputait…puis à l’âge adulte, notre conjoint(e), nos enfants, nos amis, ou encore nos collègues de travail…

Chacun d’entre nous peut, consciemment ou pas, impacter et parfois même inspirer, positivement ou pas, une ou plusieurs personnes de son entourage familial, amical ou professionnel.

Et pourquoi en serait-il différent des personnes que l’on côtoie le plus à notre égard ? 

Après tout, nous sommes des êtres sociables, des êtres d’émotions et c’est bien normal et même souhaitable que nous interagissions les uns avec les autres en permanence.

Alors, quel que soit l’environnement familial, amical ou professionnel, la question est plutôt dans quelle mesure et surtout avec quelle intention on est susceptible d’impacter ou influencer ceux que l’on côtoie le plus. Réciproquement, jusqu’où nous acceptons en conscience d’être impactés, voire influencés. Ce qui sous-tend d’autres questions comme la confiance que l’on accorde, la bienveillance et la sincérité que l’on attribue aux autres dans leurs intentions, et in fine la question de notre libre-arbitre pour choisir, décider et agir.

En excluant ici toutes les autres formes d’influences possibles (médias, réseaux sociaux, littérature, etc.), l’idée ici est de se demander sur quoi et comment ceux que l’on côtoie le plus peuvent agir sur nos schémas de pensées, nos comportements, nos choix, nos décisions…. et possiblement notre bien-être.

Voici quelques pistes pour éclairer les types d’impacts ou influences possibles :

La version quasi idéale : quelle chance, vous avez tiré le gros lot  !  

Vous côtoyez au quotidien, selon vos perceptions et vos propres filtres :

  • Des personnes formidables, ayant des comportements exemplaires, avec un état d’esprit ouvert et positif,…
  • Ayant des valeurs que vous partagez,…
  • En qui vous avez toute confiance,…
  • Qui vous soutiennent et vous encouragent en cas de difficultés sans rien attendre en retour,…
  • Qui se gardent bien de vous donner des conseils que vous n’avez pas demandés,…
  • Qui peuvent être sans complaisance avec vous mais toujours à bon escient,…
  • Qui ne se sentent pas tenus de dire « oui » à toutes vos demandes et vos attentes, parce qu’eux-mêmes sont libres d’être et d’agir, …
  • Qui vous tirent vers le haut avec bienveillance et sincérité, qui vous enrichissent et vous font grandir,…
  • Qui vous laissent libre de vos choix sans aucun jugement,…
  • Qui sont à votre écoute ou juste là quand vous en avez besoin,…
  • Qui accueillent les émotions que vous exprimez sans les étiqueter,…
  • Avec qui vous vous sentez vous-même et à votre place,…
  • Avec qui vous vous sentez un être unique et accepté dans toute sa complexité,…

Alors surtout n’y changez rien et préservez ces personnes autour de vous le plus longtemps possible pour faire encore grandir les liens.

La version cauchemardesque :  Aïe ! c’est plus compliqué !

Vous côtoyez au quotidien, selon vos perceptions et vos propres filtres :

  • Des personnes qui n’ont de cesse que de vous donner des conseils pas toujours avisés,…
  • Qui vous critiquent ou vous font des reproches alors qu’ils ne sont pas particulièrement des exemples à suivre,…
  • Qui se plaignent beaucoup sans rien faire pour changer leur situation,…
  • Qui vous découragent de toute initiative ou réussite en projetant sur vous leurs propres freins ou peurs,…
  • Qui vous plombent le moral avec les dernières actualités ou les potins du moment,…
  • Qui vous vident de votre énergie après chaque discussion,…
  • Qui vous rendent service à condition implicitement d’un geste en retour,…
  • Qui vous flattent (en fait votre égo !) dans leur propre intérêt,…
  • Qui vous rassurent parfois en vous brossant dans le sens du poil mais qui peuvent vous amener droit « dans le mur » si vous prenez pour acquis des avis ou des compliments qui ne sont pour vous,…
  • Qui disent « oui ou non » à tout mais cela ne vous pas rend pas vraiment service,…
  • Qui savent mieux que vous ce qui est bon pour vous,…
  • Qui vous tirent vers le bas parfois,…
  • Avec qui vous ne vous sentez plus tout à fait vous-même et plus vraiment à votre place,…
  • Vous ne savez plus quoi dire ou faire pour les satisfaire,…
  • Auprès desquelles, vous perdez petit à petit confiance en vous , voire l’estime de vous,…

Alors, il est grand temps de poser vos limites clairement et de faire savoir ce qui est ok pour vous et ce qui ne l’est pas. Au fond, il s’agit simplement de prendre pleinement sa responsabilité sans blâmer quiconque. 

Évidemment, après ces deux versions édifiantes et caricaturales, toute la palette de nuances plus subtiles existent fort heureusement. Le propos ici est juste de prendre conscience que certaines influences, y compris de personnes que l’on aime ou apprécie, peuvent avoir des effets plus ou moins favorables sur nous et souvent de façon tout à fait inconsciente.

Il ne s’agit pas non plus de rejeter toute forme d’influence au prétexte que cela vient des autres, mais plutôt de prendre sa pleine responsabilité dans ses relations, à fortiori auprès des personnes avec qui l’on passe le plus de temps.

S’il en est besoin, il peut être utile d’initier un changement par vous-même et pour vous-même, puis d’observer comment les liens évoluent. Par exemple, vous pourriez vous demander sur quoi vous accepteriez de transiger ou pas (comportements, croyances, valeurs …?), sans vous compromettre pour autant.

Au final, il appartient à chacun d’en tirer ses propres conclusions…

Alors, sans passer au crible chacune de vos relations, encore moins de les remettre en cause fondamentalement, mais juste pour poser un regard nouveau avec une intention bienveillante tout en faisant confiance à votre ressenti, voici quelques questions susceptibles de vous éclairer :

  • Quelles sont les personnes avec qui je passe le plus de temps ?
  • Dans quelle mesure ces personnes ont-elles un impact, voire une influence sur moi ?
  • Est-ce que cela est bon pour moi, ma confiance, mon estime de moi ?
  • Est-ce que je suis moi-même dans cette relation ?
  • Dans la négative, comment je préserve mon libre-arbitre sur ma vie, mes choix, mes décisions, mes actions, mes comportements, mon bien-être… ?

Nous avons tous des besoins psychologiques précis

Le Process Communication Model® n’est pas qu’une affaire de spécialistes, coachs ou accompagnateurs. En connaître les principes peut aider à mieux se connaître et mieux interagir avec les autres dans la vie professionnelle et même personnelle…

Et vous, vous reconnaissez-vous dans ces caractéristiques de personnalité : Empathique, Promoteur, Rebelle, Travaillomane, Persévérant ou Rêveur ?

Extraits de l’article sur la Process Com :

« L’environnement professionnel constituerait le meilleur terrain pour s’exercer à la Process Com et en tirer le plus de bénéfices… »

« Pratiquer la Process Com, c’est décrypter six caractéristiques de personnalité que chacun, à plus ou moins fort degré, recèle en soi…
Le Process Communication Model® met en effet en lumière six types de personnalité : Empathique, Promoteur, Rebelle, Travaillomane, Persévérant et Rêveur… »

« Chaque type a ses caractéristiques, qualités et énergies propres. Chaque type a des besoins psychologiques précis et une manière spécifique de percevoir le monde et d’interagir avec les autres. Et tous, sous l’emprise du stress, peuvent adopter un comportement négatif… »

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Ecouter ses émotions au travail

Et si les émotions au travail, souvent contenues par peur de paraître faible, étaient en fait un gage d’authenticité et de confiance, d’équilibre,…, et d’intelligence relationnelle.

Voici un article intéressant sur les 6 bonnes raisons d’écouter ses émotions :

  1. Couper court à ses émotions est impossible
  2. Les émotions nous veulent du bien
  3. Les émotions sont une précieuse boussole
  4. L’authenticité inspire confiance
  5. Les émotions enrichissent les relations
  6. L’intelligence émotionnelle est une compétence d’avenir

Extrait de l’article : « Une émotion trop longtemps refoulée finit par nous ronger de l’intérieur, au sens figuré comme au sens propre. A l’inverse, être à l’écoute de ses émotions est un excellent antidote contre le stress, le burn-out, les insomnies et favorise le bien-être et la confiance en soi. »

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Intelligence collective en Entreprise

Osons l’impertinence constructive !

Voici un article intéressant sur l’intelligence collective en entreprise….avec deux bémols quand même :
1/ le constat n’est pas limité aux relations avec la hiérarchie mais concerne possiblement toutes les relations en entreprise, même entre homologues,
2/ Plutôt que de parler « d’impertinent constructif », il est serait plus judicieux d’évoquer la prise de responsabilité de chacun face à son propre système de valeurs et d’éthique…

Extraits de l’article « Osons l’impertinence constructive » :

« Il y a actuellement beaucoup de souffrance liée au travail, …. La parole empêchée et le sentiment de manquer d’autonomie font d’ailleurs partie des principaux risques psychosociaux. » 

 » Impertinence constructive est un oxymore, l’association de deux contraires. C’est utiliser de manière vertueuse l’énergie et le courage que donnent la colère, l’envie de dire et de provoquer des choses….Il s’agit de créer les conditions d’une confrontation pacifiée et constructive…. »

« Etre impertinent constructif, c’est effectivement apprendre à dire non…. »

« Ceux qui pratiquent l’impertinence constructive sont animés du désir profond que leur travail se passe bien. Ils se sentent partie prenante du projet commun et de sa réussite. Pour eux, tout ne dépend pas des autres, et notamment de leurs chefs. Ils ont le désir d’oser…. »

« Quels sont les risques du silence qui en découle ? …D’abord, des risques pour la santé des individus. Ce qu’on n’exprime pas va se retourner contre nous… »

« Etre impertinent constructif, c’est se sentir plus en accord avec soi-même. C’est être dans des rapports plus simples… »

  • Je ne comprends pas, je demande.
  • J’ai une idée, je la propose.
  • Je ne suis pas d’accord ou je trouve qu’on exagère, je le dis.
  • Je pense que le délai donné n’est pas réaliste, je le fais savoir.

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Idées préconçues sur l’empathie

Voici un article intéressant sur la vraie ou fausse écoute sous couvert d’empathie.

N’avez-vous jamais entendu « si j’étais à ta place, je ferais … ».

Cet article invite le lecteur à la vigilance quant aux avis ou conseils de ceux qui vous veulent du bien, dans une bonne intention, et pensent savoir mieux que vous ce qui est bon ou pas dans votre vie ! 

Pour ma part, je crois que chacun doit rester libre et souverain dans son domaine de responsabilité, y compris d’accepter ou pas des conseils ou des avis, à fortiori quand vous ne les avez pas demandés.

Extraits de l’article « Peut-on vraiment se mettre à la place des autres ? »:

« …la vraie empathie consiste à tenter de comprendre l’autre de l’intérieur, tout en ayant conscience que cela reste impossible, donc en restant vigilant à ne pas trop empiéter sur lui. Loin de la posture prétentieuse de celui qui se croit capable de se mettre à la place d’une personne, la posture emphatique est profondément modeste, puisqu’elle reconnaît les limites de celle-ci…. »

« Le « comme si » …. vise à éviter toute confusion entre soi et l’autre. On peut d’autant mieux comprendre la position de l’autre que chacun est conscient de ce qui lui appartient et de ce qui appartient au second, …. Ma place n’est pas la tienne, ta place n’est pas la mienne ; quand je m’efforce à m’imaginer à ta place, je dois donc prendre en considération tout ce que tu vis. À défaut de pouvoir se mettre à celle de l’autre, on peut s’ouvrir à ses références, tenter d’entendre sa singularité en faisant abstraction de nos propres références,… »

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Compétences clés du leadership

Vous trouverez ci-dessous les résultats d’une enquête menée auprès de 30 entreprises, dans 15 pays, sur « les compétences clés du leadership » qui rendent les dirigeants reconnus et efficaces.

Extrait de l’article « Les cinq compétences clés du leadership » :

« Une enquête menée dans 15 pays, auprès de 30 entreprises et 195 dirigeants d’entreprise a mis en exergue les 5 grandes compétences les plus importantes au leadership. Le résultat de cette enquête a été publié dans la Harvard Business Review par son auteur, Sunnie Giles »

Les 5 compétences clés sont :

  1. Ethique et sentiment de sécurité : « …un sentiment de sécurité permet l’ouverture aux autres, l’engagement dans la relation, et crée les capacités à collaborer… »
  2. Laisser aux équipes le pouvoir de s’organiser comme elles l’entendent : « …Il est essentiel pour l’atteinte de ses propres objectifs de distribuer le pouvoir à ses équipes, et de mettre la décision au niveau où l’action se passe…. »
  3. Renforcer connexion et appartenance : « …Créer une identité, une communauté, un collectif dont sont partagés les objectifs et les valeurs constitue les fondations du travail collectif… »
  4. Créer une culture d’ouverture, d’innovation et d’apprentissage : « Sans échec, il n’y a pas d’apprentissage. Reconnaître le droit à l’erreur permet d’apprendre des erreurs et de passer à la suite…. »
  5. Encourager le développement personnel : « …Aider chacun à progresser et à développer ses capacités et compétences pour pouvoir évoluer est une formidable source de sécurité, de confiance et de motivation pour les équipes…. »

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Burn-out à la française

Voici un article intéressant sur le burn-out à la française et ses dégâts sur la vie professionnelle, personnelle, familiale et sociale.

Au-delà d’un suivi thérapeutique approprié, certaines entreprises ont compris que l’humain est au centre de toute transformation et n’hésitent plus à recourir au coaching individuel ou collectif afin précisément de mieux prendre en compte la dimension humaine.

Extrait de l’article « Burn-out – il y a un gros problème de management à la française » :

« …Le stress est le syndrome de l’adaptation. Dans notre monde en mutation, 25% des salariés sont considérés en état d’hyperstress. Santé publique France évalue à 500.000 par an le nombre de personnes qui présentent une pathologie mentale liée au travail dans notre pays. Mais ce n’est pas le changement qui génère cet épuisement, c’est la non prise en compte de l’humain dans sa mise en oeuvre… »

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Bienveillance en Entreprise

La bienveillance est avant tout une attitude, quelque chose de très spécifique dans notre relation à l’autre

Voici un article intéressant sur les comportements clés de bienveillance en Entreprise.

Il s’agit peut-être tout simplement de « savoir vivre » à appliquer tout autant en Entreprise qu’à la maison !

En cherchant bien, il y en a d’autres tels que la gentillesse, l’amabilité, l’entraide, l’humour, la convivialité…

Extraits de l’article « les 10 comportements clés de la bienveillance en entreprise » :

« La bienveillance en entreprise, quel grand sujet. Pour certains, il s’agit d’un concept à la mode aux contours assez vagues. Pour d’autres, d’un impératif dans le cadre de nos entreprises… il est plus important de comprendre que la bienveillance est avant tout une attitude, quelque chose de très spécifique dans notre relation à l’autre. »

  1. Les personnes bienveillantes écoutent,
  2. Les personnes bienveillantes sont ponctuelles,
  3. Les personnes bienveillantes sont polies,
  4. Les personnes bienveillantes sont calmes,
  5. Les personnes bienveillantes mettent en avant les autres,
  6. Les personnes bienveillantes sont positives,
  7. Les personnes bienveillantes partagent,
  8. Les personnes bienveillantes sont fiables,
  9. Les personnes bienveillantes répondent à leurs mails,
  10. Les personnes bienveillantes sont exemplaires.

Retrouvez l’article complet en cliquant sur ce lien.

Se préserver de comportements manipulateurs

Voici un article intéressant à lire avec beaucoup de discernement pour éviter de tomber dans le piège de penser que nous serions tous entourés de manipulateurs.

Il est cependant utile de repérer des comportements qui pourraient être assimilés à une forme de manipulation et donc de pouvoir s’en préserver !

Extraits de l’article « 7 façons de vous manipuler sans que vous vous en rendiez compte » :

  1. Culpabiliser, une forme de manipulation silencieuse
  2. Vous faire sentir peu sûr de vous
  3. Eveiller la compassion de l’autre
  4. Nourrir le narcissisme
  5. Intimider de manière subtile
  6. Créer de fausses discordes
  7. Se faire passer pour un idiot

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Changement de comportement

En PNL, le postulat est que chaque comportement a sa propre fonction utile, une intention positive pour la personne, mais n’est peut-être pas (ou plus) adapté dans certaines circonstances.

Si c’est le cas, il suffit d’identifier d’autres options, au moins trois, qui permettent de satisfaire la fonction utile, l’intention positive sous-tendue (par exemple, se sentir en sécurité, mieux s’affirmer…).

Après, il s’agit de prendre la meilleure option ou une combinaison des options possibles, puis de tester un certain temps. La répétition et le temps contribuent au changement.

Si c’est ok pour vous, alors vous avez adopté plus facilement que vous ne l’imaginiez un nouveau comportement plus satisfaisant, pour vous et sans doute pour votre entourage.

Si simple, alors pourquoi ne pas essayer ?

Se libérer d’un rôle enfermant

Rôle enfermant ou étiquette réductrice ? Fardeau ou ressources ? Ce n’est pas une fatalité… 


Quel est votre rôle et comment en changer ?

Voici un article intéressant sur les rôles dans lesquels on s’est enfermé ou on a été enfermé.

Extraits de l’article « Enfermé dans un rôle ? Acceptez de changer ! »

« Endosser un rôle ou coller à une étiquette sont des mécanismes de défense. Il s’agit de se conformer à l’attente des autres, afin de se protéger, de recevoir de l’attention et de l’amour… »
« …au fil du temps, rôles et étiquettes finissent par devenir une partie de notre identité, de notre personnalité… »

« Ces étiquettes ont une fonction : nous faire jouer une partition qui arrange la mise en scène familiale… Ce sont des projections, des répétitions, des réparations. En sortir met en péril l’équilibre du système. C’est pour cela que non seulement les jeux de rôle perdurent en famille, mais qu’ils sont prolongés dans le temps par d’autres jeux relationnels, dans la sphère amicale, affective ou professionnelle. »

« Problème : nous n’avons pas suffisamment de recul pour voir que ces projections sont souvent réductrices, abusives, voire mensongères. »
« …Ce qui fait notre singularité est donc d’une certaine façon truquée, et loin d’aller de soi… »
« Mais, heureusement, il n’y a aucune fatalité. Nul n’est condamné à vivre avec un faux moi indéfiniment… »

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Libérer la parole au travail

Même si elle n’est pas entendue ou suivie des faits, dans tous les cas, la parole libère !

Comment prévenir le risque de stress, voire de burn-out quand la coupe est pleine pour certains salariés, managers, voire dirigeants ? 

Toutes les entreprises craignent ce fléau, y compris celles qui mettent l’humain au coeur de toutes considérations d’organisation, de fonctionnement ou de performances.

Libérer la parole, dans une communication saine, constructive, responsable et responsabilisante est un des moyens simples et efficaces de prévenir toutes formes de frustrations et de stress. Même si elle n’est pas entendue ou suivie des faits, dans tous les cas, la parole libère !

Chacun garde ensuite son libre-arbitre de tirer les conséquences de situations non satisfaisantes et qui perdurent malgré tout, afin de préserver sa santé et son bien-être au travail.

Pour prévenir tout risque de stress, voire de burn-out, quelles qu’en soient les circonstances, vous permettre de retrouver la confiance en vous et oser vous affirmer, n’hésitez-pas à faire appel à un coach professionnel.

Voici un article intéressant sur « le bien être » au travail, en particulier sur les bienfaits de libérer la parole.

Extrait de l’article « Et si le bien-être au travail passait d’abord par la libération de la parole ? »:

« …la France, dans laquelle 10% des salariés ont ou vont faire un burn-out, il y a urgence à faire quelque chose. Cependant, avant d’utiliser les grands moyens, le bien-être peut être quelque chose que l’on fait progresser avec très peu de moyens, simplement en parlant !

« …bien souvent, nous n’osons pas exprimer nos sentiments, nos ressentis, bons ou mauvais d’ailleurs, ce qui génère automatiquement de la frustration que nous allons ruminer dans notre coin une fois rentrés à la maison…. »

« …La peur de la hiérarchieCette peur est légitime mais bien souvent supérieure à la réalité. Entre adultes, le fait de parler n’a jamais été une erreur… »

« …La peur de blesser…tout est question de forme : toujours expliquer en quoi le changement de comportement attendu sera positif plutôt que de s’attarder sur les conséquences négatives du comportement actuel… »

« ….La peur des conséquences...vous préférez la certitude de la frustration de n’avoir rien dit, ou la probabilité non nulle que la situation s’améliore. »

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Arrêter l’auto-sabotage

Quand l’auto-sabotage, par des mécanismes inconscients, conduit inéluctablement aux échecs à répétition comme on enfile des perles

Et oui, se tirer une balle dans le pied, ça fait mal en général ! Alors, comment éviter de se tirer une 2ème balle dans l’autre pied, au point d’avoir très très mal et surtout de ne plus pouvoir avancer !

Prendre conscience de ce qui se joue (croyances, peur, estime de soi…) fait une énorme différence pour « aller vers » et obtenir ce que l’on veut vraiment, ce qui est important pour nous.

Pour comprendre ces comportements et éviter de les reproduire, voici deux articles intéressants sur l’auto-sabotage.

Le 1er article porte pour l’essentiel sur les causes de l’auto-sabotage, le 2nd article propose davantage des clés pour stopper ces comportements.

1er article – Extraits « Qu’est-ce que l’autosabotage ? » :

« ….Il y a de nombreuses causes possibles, qu’il faut connaître pour les éviter et ainsi éliminer ce comportement. Ces causes peuvent être :

– Des croyances limitantes avec un syndrome de l’imposteur qui font que la personne pense qu’elle ne mérite pas le succès, l’amour,… ;

– Une faible estime de soi,

– Des objectifs imposés par des tiers,

– La peur de l’échec, du changement, de sortir de sa zone de confort,

– Des conflits internes,

– La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.

« …Toutes ces croyances limitantes qui apparaissent de manière automatique prennent le contrôle sur la personne et ses comportements, interférant dans ses actions et possibilités d’évolution et/ou de succès… »


« …La différence principale entre les personnes qui s’auto-sabotent et celles qui ne le font pas est que les premières se laissent envahir par leurs croyances négatives et la peur qu’elles ne vont pas y arriver, alors que les autres sont capables de laisser ces peurs de côté et de les surmonter…. »

Découvrez l’article complet en cliquant sur ce lien.

2nd article- Extraits de « 5 clés pour arrêter de s’autosaboter » :

  1. En finir avec les “si j’avais su…”
  2. Questionner sa culpabilité 
  3. Sortir de la procrastination 
  4. Faire preuve de souplesse psychique 
  5. Cultiver l’amitié envers soi

« …L’autosabotage, c’est échouer alors que la réussite est à portée de main, pour des raisons qui ne doivent rien au manque de compétences ni à la malchance. Derrière les échecs à répétition se cachent des comportements à remettre en question. Les regrets et les souhaits irréalistes sont parmi les pièges les plus fréquents… »

« …En refaisant l’histoire sur le mode « si j’avais su, si j’avais pu », nous avons l’impression de tirer les enseignements du passé, alors que nous nous enfermons dans un schéma de rumination mentale qui sape notre moral et empêche de rationaliser l’événement… Seul un retour lucide sur une situation permet d’en tirer des leçons profitables pour l’avenir.… »

« …On peut avoir peur de réussir autant que d’échouer. Ne pas faire de l’ombre à sa fratrie, à ses parents, à son conjoint, donc choisir inconsciemment de ne pas briller, voire d’échouer, est un comportement qui fait partie de ce que la psychanalyse appelle la « névrose d’échec ».

« ….Autre écueil à éviter : les vœux irréalistes qui consistent à se décharger de ses responsabilités. Ils appartiennent à la famille de la pensée magique… »

« …En cultivant l’autobienveillance… Il ne s’agit pas de faire preuve de complaisance envers soi-même ou de tout se passer en se trouvant des excuses, mais de poser sur soi et sur ses actes le regard que l’on poserait sur son meilleur ami… »

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Coaching santé – Prévenir la dépression

Découvrez dans l’article qui suit comment l’activité physique agit préventivement sur les risques de dépression.

Extrait de l’article « L’activité physique peut prévenir les récidives d’épisodes dépressifs » :

« Nos résultats suggèrent fortement que, lorsqu’il s’agit de dépression, les gènes ne sont pas une fatalité et que l’activité physique peut neutraliser le risque supplémentaire d’épisodes futurs chez les personnes génétiquement vulnérables ….En moyenne, environ 35 minutes d’activité physique de plus par jour peuvent… » aider les gens à réduire leurs risques…

« …Les chercheurs ont constaté que les activités physiques à haute intensité (exercice aérobic, danse, exercice avec les appareils de musculation), et aussi les exercices à faible intensité (yoga et les étirements), étaient liées à une diminution des risques de dépression…. »

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Pistes pour être heureux

Faire durer le bien-être nécessite des efforts

Quand le « mal-être » s’installe durablement comme une fatalité, voire même une croyance, il est toujours possible de se faire accompagner par un professionnel. Outre un suivi thérapeutique approprié quand cela est nécessaire, l’accompagnement par coaching ou hypnose peut être une alternative pour trouver des solutions concrètes.

Voici un très bel de Christophe André avec 7 pistes de réflexion pour éviter de se gâcher la vie ou de s’auto-saboter au quotidien :

Extraits de l’article « 7 pistes pour se rendre heureux » :

  1. Prendre la décision d’aller bien,
  2. Ne pas laisser trop d’espace au sentiment de malheur,
  3. Prendre soin de soi, surtout quand on ne va pas bien,
  4. Pas de perfectionnisme, ni d’obsession du bien-être,
  5. Face aux soucis quotidiens, réfléchir, ne pas ruminer,
  6. Ne pas nourrir d’émotions hostiles,
  7. Savourer les moments de bien-être.

« …Réussir sa vie, c’est construire un édifice en trois dimensions : matérielle, relationnelle et émotionnelle. Autrement dit : atteindre ses objectifs, en préservant de bonnes relations et une bonne image de soi, et sans pour autant sacrifier son bien-être… »

« …Il est toujours plus facile, moins coûteux en énergie psychologique, de se laisser aller au malheur. A l’inverse, faire durer le bien-être nécessite des efforts… »

« …le malheur se nourrit de lui-même. Plus on s’y laisse aller, plus on en prolonge la durée… »

« …Faire des choses agréables lorsqu’on ne va pas bien ne relève pas de l’évidence, car on n’en a pas envie. Or, tous les travaux disponibles montrent qu’il faut réamorcer cette envie par des efforts … »

« …La recherche du bien-être ne doit pas virer à l’obsession, et le droit au bonheur ne doit pas se transformer en devoir de bonheur … »

« …L’étude du psychisme des anxieux montre qu’ils ont toujours des tracas en tête, mais que, paradoxalement, jamais ils ne les abordent efficacement : leurs ruminations ne leur apportent pas de solutions….Voilà pourquoi l’un des objectifs prioritaires des psychothérapies, notamment cognitives, est d’amener les personnes à considérer leurs malheurs comme des problèmes à résoudre et non comme des malédictions…. »

« …Le manque de bienveillance est souvent preuve de mal-être, et toujours source de malheur… »

« …N’attendons pas l’adversité pour nous rappeler que la vie peut être belle et pour regretter de ne pas en avoir mieux profité… »

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Elargir « sa zone de confort »

Pourquoi et comment sortir de sa zone de confort ou plutôt de routine ?

Et bien, c’est oser prendre parfois des risques « mesurés » pour ELARGIR sa zone de confort et d’apprentissage, autrement-dit sortir d’une « routine » ou changer quelque chose qui ne convient plus. C’est se permettre de redonner du sens, de se remettre en mouvement vers un rêve ou un projet, en dépassant ses peurs, ses croyances, et en repoussant ses limites, pas à pas.

Ce n’est sûrement pas une invitation à renoncer ou prendre le risque de perdre ce qui est le plus précieux dans la vie d’une personne.

Voici un article « Pourquoi avons-nous tous intérêt à sortir de notre zone de confort » et une vidéo de Nicolas Felger qui pourrait bien vous interpeller !

« la zone de confort comme « celle où nous sommes lorsque nous évoluons dans un environnement que nous maîtrisons. Dans cette zone, les choses sont familières, qu’elles soient agréables ou non ». En sortir implique de prendre des risques. »

Découvrez l’article complet en cliquant sur ce lien.

En complément de la 1ère vidéo, voici une autre vidéo « Arrêter de vouloir sortir de votre zone de confort » de Nathalie Martin tout aussi intéressante qui pointe l’idée qu’il s’agit bien de « sortir de sa zone de routine », en faisant grandir, par petits pas, « sa zone de confort ».


Accords ou code de conduite

« Les accords toltéques » de Miguel Ruiz, livre devenu culte à découvrir et à appliquer, à bon escient, et sans modération.

Accords, principes, règles de vie ou encore code de conduit, voici une façon simple de se défaire de nos croyances limitantes, nos conditionnements culturels et éducatifs, nos projections personnelles, qui distordent parfois la réalité sur nous-même et les autres.

1er accord « Que votre parole soit impeccable »

Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez vraiment. N’utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire d’autrui. Utilisez la puissance de la parole au service de la vérité et de l’amour. La parole est un outil qui peut détruire. Prenez conscience de sa puissance et maîtrisez-la. Pas de mensonge, ni de calomnie.

2ème accord « Quoiqu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle »

Vous n’êtes pas la cause des actes d’autrui. Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre réalité, de leurs rêves, de leurs peurs, de leurs colères, de leurs fantasmes. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles.

3ème accord « Ne faites aucune supposition »

Ne commencez pas à élaborer des hypothèses pour finir par y croire, comme s’il s’agissait de certitudes. Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames.

4ème accord « Faites toujours de votre mieux »

Il n’y a pas d’obligation de réussir, il n’existe qu’une obligation de faire au mieux. Votre «mieux» change d’instant en instant. Quelles que soient les circonstances faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d’avoir des regrets. Tentez, entreprenez, essayez d’utiliser de manière optimale vos capacités personnelles. Soyez indulgent avec vous-même. Acceptez de ne pas être parfait, ni toujours victorieux.

Et le 5ème accord…

5ème accord « Soyez sceptique mais apprenez à écouter »

Utilisez la force du doute pour remettre en question ce que vous entendez : est-ce que c’est « vraiment » la vérité ? Ecoutez l’intention qui sous-tend les mots et comprenez le véritable message.

Pour en savoir plus, une analyse intéressante, en cliquant sur ce lien.